Climats #20 : Tony Molina, Anne Dufourmantelle

This could be the saddest dusk ever seen You turn to a miracle high-alive Michael Stipe Peut-on écouter Vauxhall and I de Morrissey sous le franc soleil de juillet ? Et un Antônio Carlos Jobim empêtré dans un crachin de février, c’est toujours du Antônio Carlos Jobim ? Climats met en avant les sorties disques … Continuer la lecture de « Climats #20 : Tony Molina, Anne Dufourmantelle »

L’immensité – Rebecca Elson, Rose Melberg & Tony Molina, Jacques Rivette

Collage sauvage et de mauvaise foi de l’actualité culturelle de la semaine

Tony Wilson : « Qui dois-je imprimer alors, la vérité ou la légende? »

Il est une certitude. Détesté ou adulé, Anthony H. Wilson a changé le visage de la musique moderne. En créant un beau jour de 1978, avec une poignée d’autres illuminés, Factory Records. En « signant » Joy Division – devenu New Order – et Happy Mondays, mais aussi The Durutti Column et A Certain Ratio. En contribuant … Continuer la lecture de « Tony Wilson : « Qui dois-je imprimer alors, la vérité ou la légende? » »

Tony Molina, Kill The Lights (Slumberland / import)

On se souvient tous plus ou moins (enfin surtout nous, les jeunes, qui l’avons vu de son vivant) de notre réaction énamourée et définitive à l’écoute du premier morceau d’Eliott Smith que nous ayons entendus. L’évidence d’un talent supérieur, d’une propension à toucher les étoiles l’air de rien, et surtout du décalage entre la vision … Continuer la lecture de « Tony Molina, Kill The Lights (Slumberland / import) »

Selectorama : Penny Arcade

Une voix et un visage que nous connaissons depuis plus de dix ans déjà et pourtant, James Hoare présentait en début de mois, sous le nom de Penny Arcade, son premier album en solitaire. Membre de certains des groupes les plus marquants de la scène indie pop des années 2010 – Veronica Falls, Ultimate Painting … Continuer la lecture de « Selectorama : Penny Arcade »

Nico, The Marble Index (Elektra, 1968)

C’est un calvaire, un Golgotha, un disque qu’il vaut mieux avoir sur la table qu’à l’esprit. Ce qu’un John Cale coupable en sourdine mais à peine, avait pris comme justificatif d’une déroute marchande annoncée. « The Marble Index is an artefact, not a commodity. You Can’t Sell Suicide. » Cette image quand même, grand résumé parfait et … Continuer la lecture de « Nico, The Marble Index (Elektra, 1968) »

The Mighty Lemon Drops, Happy Head (Blue Guitar, 1986)

En France, pour la musique d’outre-Manche, nous connaissons mieux la région des Midlands de l’Ouest à travers la ville de Birmingham (Black Sabbath, The Move, Dexys Midnight Runners, Broadcast, ELO…) ou Stourbridge (et son improbable scène Grebo). Pourtant, du coté de Wolverhampton, il s’est parfois aussi passé des choses. Dans les années 70, le club The … Continuer la lecture de « The Mighty Lemon Drops, Happy Head (Blue Guitar, 1986) »

Marbled Eye de retour après cinq ans d’attente

Cinq ans après Leisure, leur unique album, la bande d’Oakland (composée de Chris Nativitad, Alex Shen, Michael Lucero & Ronnie Portugal, qui succède à Andrew Oswald parti du groupe récemment) a su être patiente. Après moult événements de vie (séparations, naissance d’enfants ou autres déménagements), Marbled Eye nous fait le plaisir d’un nouvel album, Read … Continuer la lecture de « Marbled Eye de retour après cinq ans d’attente »