Jazz Culture : Raphaël Imbert - Pour ou contre les conservatoires

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Jazz Culture : Raphaël Imbert - Pour ou contre les conservatoires

Raphaël Imbert
Raphaël Imbert
- ©Philippe Munda

Parution de “Pour ou contre les conservatoires” de Raphaël Imbert dans la collection Libelle des éditions du Seuil.

Des lieux publics à nos écouteurs, nos vies sont baignées de musique auxquelles nous avons un accès immédiat et consumériste. En miroir inversé, l'enseignement artistique - et particulièrement musical - subit en France une crise profonde, malgré un maillage territorial de conservatoires unique au monde. Mais l'apprentissage, jugé trop élitiste, trop théorique, trop classique, décourage nombre d'élèves. A quoi sert la musique ? Comment remettre la pratique au cœur de la cité ? Le plus swing des directeurs de conservatoire répond.

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Des gammes, du solfège, des examens aussi sélectifs qu’à l’école : pourquoi tant d’élèves des Conservatoires en sortentils dégoûtés de la musique ? Et pourquoi la France, qui peut s’enorgueillir d’un excellent maillage territorial d’écoles de musique, demeure-t-elle une nation si peu musicienne ? Le jazzman Raphaël Imbert, qui dirige le Conservatoire Pierre Barbizet de Marseille, y a développé une pédagogie fondée sur le collectif et l’improvisation. C’est fort de son expérience d’autodidacte qu’il met en cause l’élitisme conservateur qui anime trop souvent l’enseignement de la musique et propose de nouvelles voies (et voix) pour « transmettre l’intransmissible ».

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Si la musique s’apprend, il s’agit surtout d’apprendre à écouter et à jouer. En ce sens, il y a aujourd’hui en France un urgent besoin de musique et c’est tout le rôle de l’enseignement artistique que Raphaël Imbert replace au cœur du vivre ensemble.
(extrait du communiqué de presse)

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