Music & co.

Pour ce dernier épisode, Raphaël nous partage une des chansons de son enfance lorsqu’il se passionnait pour les extraterrestres. C’est « Elle est d’ailleurs » de Pierre Bachelet.

Raphaël nous fait découvrir une chanson qui est comme un secret pour lui. C’est sa femme qui lui a fait découvrir il y a dix ans. Il s’agit de « Une fourmi et moi » de Delphine Seyrig.

Pour ce troisième épisode, Raphaël a choisit de reprendre un artiste qui lui évoque le désœuvrement de son adolescence et le romantique qui va avec. C’est Chet Baker, et la chanson, « Everything Happens to Me ».

Dans ce deuxième épisode, Raphaël a choisi une chanson d’un artiste qui lui a donné envie d’écrire en français et c’est le plus célèbre des chanteurs auvergnat, Jean-Louis Murat, et la chanson s’appelle "Le Charme".

Pour ce premier épisode, Raphaël a choisi de reprendre un classique d’un artiste de légende, la chanson "Ashes to Ashes" de David Bowie qui, selon ses dires, est la plus belle chanson du XXe siècle.

Durant une semaine, France Inter laisse carte blanche à Raphaël. Cinq rendez-vous. Cinq chansons. Cinq choix étonnants et éclairants. Rendez-vous le 8 avril.

Le road-trip que raconte le premier roman plein de fureur et de poésie de Nick Cave, « Mort de Bunny Munro » a totalement embarqué Olivia Ruiz. Elle nous en lit un passage et pour signer sa bande original, quoi de mieux qu’une reprise de « Henri Lee » ?

Aujourd’hui, Olivia Ruiz nous parle du roman poétique de Nicolas Deleau, Des Rêves à tenir », et pour l’accompagner musicalement, elle a choisi de reprendre le tout aussi délicat « L’Amour à la Machine » d’Alain Souchon.

A travers ses chansons, Olivia Ruiz a souvent abordé la filiation et l’héritage. C’est donc tout naturellement qu’elle a choisi de lire un passage de l’essai "La mère suffisamment bonne", d’un des pères de la pédopsychiatrie, Donald Winnicott. Et pour la mettre en musique, elle reprend Taylor Swift.

Pour cet épisode, Olivia Ruiz nous lit un passage de « Chocolat Amer » de l’écrivaine, scénariste et femme politique mexicaine, Laura Esquivel. Et pour l’associer à une chanson, Olivia a choisi de reprendre le titre très caliente, « La Fama » de la grande Rosalia.

Mêler la vie et la littérature, c’est tout l’art et l’œuvre d’Annie Ernaux. Dans cette épisode, Olivia Ruiz a choisi de lire un passage de Se perdre, qui évoque l’amour bien sûr, mais aussi l’attente. Pour mettre en musique ce texte, elle reprend « La recette de l’amour fou » de Gainsbourg.

Je me suis longtemps demandé comment se dire au revoir. Le mieux, c’est de se quitter en laissant une lumière allumée quelque part entre vous et moi, comme un phare dans la nuit. Aujourd’hui, je reprends Alain Souchon.

Ce matin, nous petit-déjeunons avec la plus française des Anglaises, Jane Birkin. Elle nous a quittés il y a quelques mois et nous avons passé tant d'années en sa compagnie qu'il nous était impensable qu'un jour elle ne soit plus là.

Ce matin, on traverse l'océan Atlantique pour partir à la rencontre d'une déesse de la musique, une chanteuse qui me donne l'impression d'être en smoking en toute situation, Lana Del Rey.

Ce matin et pour toute la semaine, Gaëtan Roussel nous donne rendez-vous pour parler musique, mais aussi de voyages dans le temps. Aujourd’hui, il nous parle de quelqu'un dont vous ne pourrez plus vous passer après l'avoir entendu, Martin Luminet.

Ce matin et pour toute la semaine, Gaëtan Roussel nous donne rendez-vous pour parler musique, mais aussi de voyages dans le temps, de promenades dans la tête et de chevauchées dans le cœur. Aujourd’hui, "Je t’ai manqué" d’Alain Bashung.

Les Mains d'or de Bernard Lavilliers est d'abord une chanson sur les régions minières et le combat des ouvriers pour leur travail. Il a plusieurs fois porté cette chanson guitare à la main à leurs côtés. Elle est plus largement un texte sur le chômage subit, l'idée de souhaiter "travailler encore".

Betty, faut pas pleurer... Chanson singulière de Bernard Lavilliers, certainement l'un de ses textes les plus touchants. L'auteur compositeur nous raconte la génèse de ce titre, l'histoire de son amie Betty, jetée en prison. Une lettre personnelle devenue chanson publique en 1981.

Bernard Lavilliers raconte son amour pour celle qui, "tous les jours est contre sa peau", dans 'Guitar Song' en 2004.

"Où veux-tu que je sois, dans cette société là ?" En 1980 Bernard Lavilliers a envie de rythmes et de rock pour son album O Gringo. Ce sera un rock plutôt dur avec la chanson Traffic.